La corruption dénoncée dans le domaine de l’eauTransparency international (TI), organisation internationale de société civile qui lutte contre la corruption, estime dans un rapport publié le 25 juin (1) que «la corruption dans le secteur de l’eau menace les vies et subsistances de milliards de personnes», et qu’il est urgent d’agir dans le contexte de changement climatique et de pression sur les ressources en eau. «L’impact de la corruption sur l’eau est un problème de gouvernance fondamental, mais il n’est pas suffisamment pris en compte dans les nombreuses initiatives politiques en faveur d’une durabilité environnementale, du développement et de la sécurité alimentaire et énergétique. Il faut que cela change», a déclaré Huguette Labelle, directrice de TI.
Le rapport indique que «la pollution de l’eau n’est souvent pas sanctionnée à cause de la corruption, et les fonds liés à la gestion des ressources en eau se retrouvent dans les poches d’officiels corrompus». Est notamment cité l’exemple de la Chine où, pour cette raison, l’eau de plus de 75% des rivières qui traversent les zones urbaines est polluée,.
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Police de l’eau: peu de sanctions sont prononcées Les actions menées par la police de l’eau, malgré une augmentation de ses effectifs, sont jugées trop peu efficaces par l’association Eau et rivières de Bretagne.
C’est à partir des données saisies par les missions interservices de l’eau (Mise) et les services de police de l’eau (SPE) dans le logiciel Cascade que la Direction de l’eau du ministère chargé de l’environnement a rédigé le compte rendu d’activité 2007 de la police de l’eau et des milieux aquatiques. Présenté à la presse le 13 juin, celui-ci précise notamment que les effectifs de la police de l’eau dans les services de l’Etat ont augmenté de 5,8% entre 2006 et 2007. Dans 19 départements français toutefois, la taille minimale nécessaire au fonctionnement, soit 6 équivalents temps plein (ETP), n’est pas atteinte. «Les SPE manquent beaucoup de moyens. En Bretagne, ils ont du mal à répondre à nos sollicitations pour vérifier que la réglementation est bien appliquée sur le terrain», constate Gilles Huet, d’Eau et rivières de Bretagne, association qui agit en faveur de la protection de l’eau et des milieux naturels de la source à la mer.
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Une plage française sur dix serait «de qualité insuffisante»Selon une étude de Surfrider Foundation Europe, association de protection des océans et du littoral, 131 plages du territoire français, soit 1 sur 10, pourraient être classées en qualité insuffisante dans le cadre de la nouvelle directive européenne sur les eaux de baignade (1). Si aucune mesure n’est prise, les municipalités concernées devraient alors interdire la baignade sur ces sites en 2015.
L’étude a porté sur 1.600 plages. En tout, 22% d’entre elles sont susceptibles d’être déclassées, c’est-à-dire rétrogradées en termes de qualité d’eau de baignade. «Surfrider Foundation Europe avec l’aide de France nature environnement (FNE) se mobilise pour convaincre tous les acteurs concernés de travailler ensemble et de se préparer au plus tôt à la nouvelle réglementation européenne sur les eaux de baignade», indique l’association dans un communiqué.Lire la suite sur JDLE ..
Le lobbying, un processus institutionnalisé au niveau européenPlutôt considérées comme tabou en France, les démarches des groupes d’intérêt destinées à faire valoir leurs positions auprès des instances européennes deviennent plus transparentes avec le temps. L’adoption du règlement Reach illustre bien le compromis auquel peut aboutir un long processus de lobbying relayé auprès du public.
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Belgique : Recul généralisé de l'utilisation de l'eau de villeL'utilisation de l'eau de ville a globalement reculé en Belgique en 2007, une tendance observée depuis quelques années en Wallonie et à Bruxelles mais une première pour la Flandre, peut-on lire dans les rapports d'activités des sociétés régionales de production d'eau. Au cours de l'année 2007, les clients de la Société Wallonne des Eaux (SWDE)ont consommé près de 105 millions de m3 d'eau, pour une consommation moyenne par raccordement de 104,9 m3, contre 106,2 m3 en 2006. La canicule de 2003 avait tiré les chiffres de la consommation d'eau vers le haut jusqu'en 2004, consommation qui a ensuite régulièrement baissé. La SWDE met ce recul sur le compte des variations de l'activité économique des grandes industries consommatrices d'eau, qui, par le volume qu'elles consomment, peuvent imprimer une tendance moyenne à la hausse ou à la baisse. La recherche de ressources alternatives ainsi que le recours de plus en plus régulier des consommateurs domestiques aux eaux de pluie font également partie des explications avancées par le producteur d'eau wallon. Pour Vivaqua, qui fournit toute l'eau potable en Région de Bruxelles-Capitale et alimente une partie des Régions flamande (50,9 millions de m3) et wallonne (16,4 millions de m3), la baisse observée en 2007 (67,4 millions de m3) est à mettre sur le compte des campagnes menées par les services d'eau - et par les autorités - en faveur d'une utilisation plus rationnelle de l'eau. Du côté de la Société flamande de Distribution d'Eau (SMW), qui fournit 170 des 308 communes flamandes (mais pas de grandes villes), alors que le chiffre de clients est en progression de 1,55 % en 2007, la production a elle baissé de 0,9% par rapport à 2006, à 145,7 millions de m3. La baisse a même atteint 1,6% dans les ménages. C'est la première baisse constatée par la SMW ces dernières années. Selon la direction, cette baisse est due à la facture d'eau unifiée. "Elle permet pour la première fois au client d'avoir une vue précise de sa consommation sur une année, ce qui le rend plus attentif au prix", indique-t-on du côté de la SMW.
Source : RTLinfo.be
Des pluies inégalement réparties sur la FranceComme l’illustrent les récentes inondations survenues dans de nombreux départements, la France affiche depuis le mois de mars un bilan pluviométrique des plus contrastés. La majeure partie du territoire métropolitain a ainsi connu de fortes précipitations au cours du mois d’avril, allant jusqu’à afficher 2,5 fois la pluviométrie mensuelle moyenne en Alsace et dans l’Ouest du Massif Central. Démentant cette tendance générale, sur les côtes normandes et l’extrême Nord du pays, de même que sur les côtes landaises et les Pyrénées, les pluies sont restées inférieures à la normale. Les plus touchés par le manque d’eau restent le Languedoc-Roussillon et la Corse, lesquels ont accusé un déficit supérieur à 50 %. Or, si le surplus d’eau a de lourdes conséquences, la pénurie pose elle aussi quelques difficultés, avec en tête de liste le ravitaillement des réserves phréatiques. Actuellement, le bilan des pluies dites « efficaces » (1), destinées à réapprovisionner les nappes phréatiques, est largement négatif. Etabli sur la période comprise entre le 1er septembre et le 1er mai 2008, l’état des lieux fourni par le Bulletin National de Situation Hydrologique (2) montre que les précipitations efficaces sont déficitaires sur la quasi totalité du territoire. Des déficits supérieurs à 25 % ont ainsi été enregistrés en Aquitaine, sur le pourtour méditerranéen et l’Ouest de la Corse, et dans le Nord, Nord-Est et Sud-Est de la région parisienne. Ils atteignent les 80 % pour la côte basque et les Pyrénées orientales. Au final, seules quelques rares régions comme l’Est du bassin parisien, le Nord-Est de la Bretagne et l’Est de la Corse sont légèrement excédentaires par rapport à la normale des précipitations efficaces.A lire sur Univers Nature ..
Bassin du Lay : la gestion des ressources en eau au coeur d'une polémique Entre le Parc interrégional du Marais poitevin et la Commission locale de l'eau (CLE) du Lay, rien ne va plus. Au coeur de la discorde, le Schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) du Lay. Validé en février dernier par la Commission locale de l'eau (CLE) du Lay, le projet du Schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) du bassin du Lay (1) suscite une vive critique de la part du Parc interrégional du marais poitevin. La CLE est présidée par Jean-Pierre Hocq, maire de Mareuil-sur-Lay et conseiller général. « Le projet n'est pas conforme, ni sur le fond, ni sur la forme aux objectifs attendus par le Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux du bassin de Loire-Bretagne (SDAGE) en matière de gestion soutenable des nappes et de la ressource en eau » explique Yann Hélary, président du Parc Interrégional du Marais poitevin. Réduire de 70 % les pompages Le président du Parc s'appuie sur une expertise de l'InterSAGE qui démontre « la relation de cause à effet entre les prélèvements agricoles et les assecs (rivières sans eaux, ndlr) estivaux de la zone humide dans le bassin versant du Lay ». D'où le dépôt d'un amendement au projet du SAGE préconisant « une réduction de 70 % les pompages d'eau par l'agriculture irriguante, soit 15 gros irrigants concernés. Or Jean-Pierre Hocq, le président de la CLE du Lay ne les a pas examinés car il n'est pas d'accord ». Jean-Pierre Hocq se justifie. « C'est irréaliste car on ne tient pas compte des conséquences économiques. La CLE a prévu de réduire de 25 à 30 % l'irrigation sans casser l'économie par des techniques nouvelles d'irrigation et des modes de cultures différentes. On compense en augmentant les volumes de pompages au printemps et en créant 1 million de m3 de réserves ». Des irrigants pointés du doigt « On veut le beurre et l'argent du beurre, déplore Yann Hélary. D'un côté, on crée des retenues d'eau financées par des fonds publics à hauteur de 16 millions d'euros et de l'autre, on continue à pomper l'eau dans les nappes. » En pointant du doigt les irrigants, le président du Parc s'attire les foudres de Luc Guyau, président de la Chambre d'agriculture qui exprime son mécontentement dans un courrier adressé début mai à l'élu Vert et aux élus des communes du secteur. « Il les rend responsables de tous les maux, pire, il les accuse de se servir et d'être des profiteurs qui ne respectent pas les engagements ». Aujourd'hui, Yann Hélary persiste et signe, envisageant même un recours juridique si la situation ne se débloque pas. M.M. (1) Le bassin du Lay, un territoire de 2 195 km2 où les principaux enjeux sont : la qualité des eaux, la gestion de la ressource, la protection et restauration des zones humides. (2) La commission de coordination interSAGE regroupe les SAGE de la Sèvre niortaise, du Lay et de la Vendée et du marais poitevin.
Paris : Vers un service public unique de l'eauAfin de garantir une eau de qualité et au meilleur coût, la Ville de Paris a décidé de créer un opérateur public unique (sous la forme d’un Etablissement public industriel et commercial), ayant responsabilité sur toute la chaîne de l’eau, de la production à la distribution. Cette mesure entrera en vigueur fin 2009, après la date d'expiration des contrats. Lors de son conseil d’administration du 30 mai, Eau de Paris, société d’économie mixte de la Ville, a renouvelé le mandat de présidente d’Anne Le Strat, également adjointe au maire de Paris chargée de l’eau, de l’assainissement et de la gestion des canaux, et a nommé un nouveau directeur général en la personne de Thierry Wahl. Fin 2009, à la date d’expiration des contrats de gestion, il sera mis fin à l’éclatement des responsabilités entre la SEM en charge de la production et les deux délégataires privés qui assurent la distribution sur chacune des rives de la Seine.
Par cette réforme, Bertrand Delanoë met un terme à une dispersion des responsabilités qui nuit à une gestion optimale de la ressource, affirme son choix d'une plus grande maîtrise du service public de l’eau et s'engage à garantir aux Parisiens une eau de qualité, au meilleur coût et avec un haut niveau de performance quant au service offert. L’engagement d’une stabilité du prix de l’eau, dans sa part communale, est également réaffirmé. Le maire de Paris souhaite également que cette évolution vers une régie municipale permette d’engager à moyen terme une réflexion avec les autres collectivités territoriales d’Ile de France sur l’intérêt et les modalités d’une plus grande mutualisation d’un certain nombre d’outils de production de l’eau. Source : Paris.fr
Une eau en bouteille sur 4 impropre à une consommation quotidienneBelgique , 29/05/2008 Près d'une eau en bouteille sur quatre ne convient pas à une consommation quotidienne du fait de sa teneur élevée en fluor, en sulfates et/ou en sodium, peut-on lire dans le dernier numéro du magazine de l'association de consommateurs Test-Achats, qui a analysé 48 marques d'eau non pétillante. Comme des normes plus sévères encore s'appliquent pour les bébés et les femmes enceintes, davantage de marques sont à écarter pour eux, précise Test-Achats. Une eau potable qui contient plus de 1,5 milligramme de fluor par litre peut contribuer à l'érosion de l'émail des dents voire, dans les cas extrêmes, à une fluorose des os. Ces eaux sont donc déconseillées pour une consommation régulière par de jeunes enfants. Une dose de sulfates trop élevée peut elle engendrer une déshydratation et une irritation du tube digestif. Boire quotidiennement une eau riche en sulfates peut donc avoir un effet laxatif, et ce, dès une concentration de plus de 400 mg/l, selon Test-Achats. Avec une teneur en sulfates allant de 388 à près de 1.522 mg/l, plusieurs marques testées dépassent largement le seuil des 250 mg/l. (GFR) Source : Le Vif.be
Mieux recycler les eaux usées pour lutter contre la pénurieGrâce à d'importants progrès techniques, les eaux usées recyclées trouvent de nouvelles utilisations.Confrontée depuis plusieurs années à une très sévère pénurie d'eau, la ville espagnole de Barcelone essaie toutes les solutions. Sa récente importation d'eau par bateau-citerne depuis Marseille a fait sensation. Mais la cité catalane a également demandé à Veolia de construire une des plus grandes usines de recyclage des eaux usées d'Europe et, sans doute, du monde. Comme dans toutes les grandes villes, les eaux utilisées par les habitants sont envoyées dans une station d'épuration où elles subissent une première série de traitements. Mais ensuite, au lieu d'être rejetées en mer, elles passent par des clarificateurs et des filtres qui les rendent assez propres pour un usage agricole : chaque jour, 64.800 mètres cubes d'eau sont ainsi réutilisés pour l'irrigation, tandis que 37.060 mètres cubes sont injectés dans les nappes aquifères et dans le delta du Llobregat, le fleuve local. En Italie, l'usine de Milan San Rocco, construite par Degrémont (groupe Suez Environnement), reçoit chaque jour dans ses bassins l'équivalent de la consommation de 1 million d'habitants. Là aussi, l'eau recyclée est ensuite utilisée pour l'agriculture. Imaginée il y a une vingtaine d'années pour l'industrie, la réutilisation des eaux usées est une technique en pleine expansion. Suez Environnement estime que, dans les sept prochaines années, les capacités mondiales devraient plus que doubler pour passer à 55 millions de mètres cubes par jour. Soit une croissance de 10 à 12 % par an, en moyenne dans le monde. Avec des pointes de 41 % par an en Australie, de 27 % en Europe et de 25 % aux Etats-Unis. « Là où il y a inadéquation entre les ressources et les besoins de la population, la réutilisation des eaux usées recyclées devient indispensable », résume Hervé Suty, directeur général du centre de recherche sur l'eau de Veolia. Or le réchauffement climatique et l'explosion démographique accentuent le « stress hydrique » dans plusieurs régions du globe. « Chaque jour, de par le monde, 200.000 personnes de plus viennent habiter dans des villes », rappelle Bernard Guirkinger, vice-président de Suez Environnement, en charge de l'eau pour l'Europe. Freins psychologiquesLes usages de l'eau recyclée sont nombreux. Pour l'industrie, bien sûr : à Lamballe, dans les Côtes-d'Armor, Veolia a construit pour les abattoirs porcins d'une coopérative agricole, la Cooperl (60.000 bêtes abattues chaque semaine), des installations qui traitent 14.000 mètres cubes par semaine. L'utilisation la plus fréquente est ensuite l'irrigation agricole, mais aussi l'arrosage des golfs, l'entretien d'un « 18-trous » consommant autant d'eau qu'une ville de 15.000 à 36.000 habitants. Puis viennent la réalimentation des nappes, voire directement la production d'eau potable. « Voilà vingt ans que la Namibie, qui est dans une zone géographique de stress hydrique, recycle son eau pour la rendre potable, en particulier pour la ville de Windhoek, située dans une zone aride éloignée de la côte, et donc sans possibilité d'usage d'eau dessalée par exemple », constate Hervé Suty. « Même la ville-Etat de Singapour s'y met, poursuit Diane d'Arras, directeur métiers et recherche chez Suez Environnement. Ses réservoirs d'eau potable contiennent 1 % d'eaux recyclées. » « Et les Chinois sont très tentés de produire de l'eau potable à partir des eaux usées », affirme Marc Chevrel, directeur marketing chez Degrémont Technologies. Enfin, arrivent quelques usages exceptionnels, comme la reconversion d'anciennes mines à ciel ouvert en zone de loisirs aquatiques (lire ci-dessous). Plusieurs obstacles restent à surmonter pour que la réutilisation des eaux recyclées se généralise. D'abord, la production d'eau potable soulève des freins psychologiques. Les consommateurs ont beaucoup de mal à comprendre que l'eau des WC peut être entièrement nettoyée et rendue propre à la consommation. « Pour tenter de lutter contre ce phénomène, nous mènerons très probablement en Australie, dans le cadre d'une chaire sur le recyclage des eaux usées, des enquêtes auprès des utilisateurs et des autorités locales sur l'acceptabilité de ces eaux », indique Hervé Suty. Coût élevéDe plus, les contraintes de sécurité sont importantes. Un second réseau d'adduction doit être mis en place pour les eaux non potables. « Et pour les eaux recyclées destinées à la consommation humaine, il faut d'importantes zones de stockage, explique Diane d'Arras. Cela permet de bloquer une eau qui aurait été mal traitée. » Mais le principal problème reste le coût. Si le recyclage demeure moins cher que le dessalement, il est toujours pratiquement deux fois plus coûteux que l'utilisation de l'eau naturelle (l'eau pompée dans le haut d'une nappe phréatique, par exemple). « Nous espérons gagner 30 % d'ici cinq à dix ans », avance Hervé Suty. Trois grandes techniques sont successivement utilisées dans le recyclage de l'eau : la microfiltration, l'osmose inverse et les ultraviolets. Les deux premières consistent à faire passer l'eau sous pression à travers des membranes qui retiennent les fines particules indésirables. Or, qui dit pression dit énergie. « Pour l'osmose inverse des eaux recyclées, il faut de 12 à 15 bars de pression, soit une consommation d'électricité d'un kilowatt par mètre cube », précise Hervé Suty. Une des pistes étudiées consiste à utiliser les nanotechnologies pour fabriquer des membranes comportant beaucoup plus de pores au mètre carré, mais toujours résistantes : du coup, la pression exigée - et la consommation d'électricité - sera moindre. Restera à régler un autre problème : les concentrats, terme désignant les rejets qui contiennent toutes les impuretés éliminées par les membranes, et qui sont à l'origine de très importants gaspillages. JACQUES HENNO> voir sur Les échos.fr : > Innovation > Environnement du 3 juin 2008Remarque de "Pierre L'écoleau" :
> encore une fois, on remarquera pourquoi la politique de "gestion de la ressource" s'appuie beaucoup plus sur le "re-use" des eaux usées que sur la récupération et la valorisation de l'eau de pluie ........................... !! (voir passages surlignés en vert)
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